
Monsieur mon Maitre
IL me faut vous écrire et vous faire cette confession. Vous ne savez pas dans quel état d’esprit j’étais en vous quittant hier . La pauvre petite chose chiffonnée et toute pantelante du désir que vous lui inspirez eu bien du mal à trouver le sommeil . Votre image me revenait sans cesse en mémoire, imprimée sur la rétine et même le noir absolu de cette chambre vide de vous ne pouvait la faire disparaitre . Nuit agitée sonnant un réveil avant les premiers rayons du soleil . Monsieur, il me faut avouer une faute . Dès la sortie des bras de Morphée m’est venue la pensée de vous imaginer , vous, à cette même heure débordant de votre énergie sexuelle et votre sexe dressé d’une magnifique érection matinale . La chair est faible et votre soumise n’a pu résister à l’appel de ses sens . Oui ,Maitre , j’ai fauté et me suis rendue coupable de m’être donnée du plaisir sans votre accord préalable. Avant que vous ne me punissiez, laissez-moi vous conter cet instant volé. Vous estimerez alors la valeur de la sanction méritée.
Vous connaissez cette fente sombre, ce sillon ombré qui se découpe sous le mont de Venus et combien elle se nacre de cyprine des que je pense à vous . Vous savez le trésor qui y est enfoui et combien il s’empourpre et se gonfle d’envie. Vous dire alors qu’à peine les yeux ouverts, je me suis surprise à me caresser d’une main légère la poitrine , le ventre .Crochetant la hanche, elle devint plus ferme , plus pressée et tremblante et se posa sur le pubis . Un doigt glisse droit au but et plonge là où vous aimez trouver un suintement continu quand vous me voulez prête pour vous. Malgré la hardiesse à me faire reluire ce sexe avide , la vague électrique ne voulait pas enfler et ce petit clapotis de bord de plage exacerbait encore plus l’envie de me faire jouir. Les chairs fouraillées , la bouche d’amour aux 4 lèvres en réclame plus .N’y tenant plus , je sortis de la boite à délice un jouet que vous m’avez offert . Vous m’avez demandé alors de l’utiliser aussi souvent que souhaité me remémorant ce doux supplice que vous aimez m’infliger.
A peine posé et mis en route, il happa ce bouton d’amour , le fit sortir de son capuchon aussi prestement qu’un coup de vent . Je commençais à jouer avec cet appareil sur un rythme lent ,par effet d’aspiration rythmée de vibration créant une intense succion , comme la ventouse d’une tentacule de pieuvre enserrant une proie , la tractant pour l’extirper de sa coquille .

Le jouet suçait gloutonnement mon bouton , l’aspirait tout en vibrant . Comme une bouche infatigable , jouant sur les fréquence , à chaque changement de rythme , de surprise la sensibilité de votre framboise se faisait plus aigüe, plus tenace ; mes jambes se serraient pour mieux emprisonner le suceur redoutable . Mes muscles se contractaient en chaine arque boutant mon corps sous l’emprise de cette onde foudroyante qui dévorait mon bas ventre et mes reins . Comme une dizaine de petites langues et de lèvres avides , la sensation devenait encore plus vive, plus intense . J’appuyais une nouvelle fois sur la commande et là oh une fulgurante sensation . Impossible de vous dire si de la douleur ou du plaisir qui des 2 dominait . Je me contorsionnais , mes jambes se serraient davantage , je pouvais percevoir l’entrechoquement de mes genoux car une série de petits spasmes secouèrent votre soumise. Et pourtant le corps se défendait de lâcher la dernière digue et d’offrir l’orgasme . Quel seuil pouvais-je bien atteindre avant que le cerveau n’explose et dans la délivrance d’un cri quasi bestial libère ses hormones du bonheur, de la félicité? Jouant de l’orientation de cette machine à baiser les perles et maniant le manche , je tirais mon clito. Mémoire du corps quand vous m’accordez avec un si grand art les cunni dont seul vous en avez le secret. Nouvelle pression sur la touche programme , séquence alternée succion en cascade plus ou moins fortes accompagnée d’à coups de vibration cycle court, cycle long se déclenchant de manière aléatoire ….l’aspiration menée avec cette lente et douce violence déclencha enfin la délivrance espérée, arquée sur les talons et la nuque, le dos complètement décollé du matelas , c’est ainsi dans une dernière torsion que les saccades finales arrivèrent ;chaleur de tout le corps, flot de sueur et l’étau écrasant mes tempes disparait tandis que dans un râle venant de tréfonds de mon être les dernières contractions de la lubrique chatte de votre soumise crachotant, couinant et hoquetant , soufflant , happant l’air avant de s’effondrer dans une torpeur vierge et silencieuse . Il vous plairait que de recevoir un cliché , un instantané de votre chienne et de son sexe , bouche à 4 lèvres dont le clito encore hypersensible en dépasse , petit phallus lesbien , langue pendue bavant du désir qu’elle a de vous .Punissez moi Monsieur pour ne point vous avoir averti à temps et attendu votre autorisation .
signée : votre goulue